… Sweeny m'accompagna vers une maison vieille d'à peu près un siècle. J'entrai dans la pièce, je n'eus même pas le temps de voir où j'étais que l'obscurité se fit dans la pièce. Je n'entendais plus Sweeny, je compris à ce moment là que l'épreuve avait commencé. Je touchais les murs car je n'avais pas oublié la tâche que m'avait confié Sweeny, retrouver la pierre rouge incrusté dans une poutre. Je me souvenais qu'il était censé y avoir un dragon, mais, aucun signe de vis. Je voulu retirer ces paroles à la minutes où je les ais pensées. J'entendis derrière moi, une respiration suivi de pas lourds, je me redressai, compris qu'il était là. Je gardais mon sang froid et me disais qu'il ne montrait aucun aucun signe d'agressivité. Je continuais ma recherche de cette pierre quand soudain, le dragon se mit à cracher des flammes en s'avançant vers moi; je fis se lever un vent qui diminua la taille de ses flammes qu'il envoyait vers moi; ce pendant près de cinq minutes. Je finis par comprendre que ces flammes pouvaient être un atout pour moi, et j'avais raison, la lueurs de celle-ci se refléta dans quelque chose, je savais à présent ou se trouvait cette pierre, mais avait aussi remarqué que c'était un des endroits les plus étroits de la pièce et qu'il me serait difficile de l'atteindre. Les crachats du dragons se firent de plus en plus agressifs. J'élevai une tornade qui fit voler les planches les moins solides qui désorientèrent le dragon, j'en profitai pour me rapprocher d'avantage de la poutre. Elle étais plus fine mais aussi résistantes que les autres, elle était pointue sur les bouts, surement pour mieux s'emboiter dans les fentes prévues à cet effet. En voyant que je n'arriverais jamais à passer derrière lui, je me décidai à déclencher un ouragan. Pour mon plus grand bonheur, le dragon fut projeté à l'autre bout de la pièce. J'envoyai par la force du vent trois ou quatre lourdes poutres de façon à l'assommer. Et finalement, j'envoyai plus fort que jamais la poutre possédant la pierre rouge, et pas la pointe transperça la poitrine du dragon. Il ne bougea plus, je m'avançai, toujours sur mes gardes au cas où il se relèverais, me penchai prudemment sur lui et constata qu'il ne respirais plus. Je me tournais vers la poutre, mais remarquai, toujours à tatons, que la partie de la poutre où était incrusté la pierre se trouvai profondément enfoncée dans la blessure. Je respirai un grand coup, faisant le courageuse puis plongea ma main dans la plaie. Plusieurs échardes plus tard (je m'enfonçai des échardes en tatant le poutre en bois), je sentis quelque chose de plus froid que le reste; je priai pour que ce sois ce que je cherchai. J'extirpai avec difficulté cette chose et découvris finalement que j'avais réussi mon épreuve.
Je fis demi tour en direction de la maison des solitaires...
J'ouvre la porte de la maison des solitaires, et présente fièrement à Sweeny ce qu'elle m'avais chargé de récupérer.